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  • Point of view #4 - 9 octobre 2018 :
    Comment capitaliser sur l'expertise SCM pour déployer la stratégie RSE

Problématique : Dans le précédent Point of View, nous retracions les grandes étapes de l’histoire ayant abouti à la RSE. 

Au début des années 80, le concept de SCM émerge pour permettre une meilleure intégration transversale et une meilleure valorisation des ressources de l’entreprise au service de la satisfaction client et de la profitabilité, avec des principes fondamentaux qu’une approche RSE ne peut que plébisciter.

On pourrait cependant objecter que la SCM ne se focalise que sur l’économique, alors que la RSE intègre les trois axes que sont l’économie, le social et l’environnemental, mais est-ce vraiment le cas ? Bien que la SCM  semble parfois ne privilégier que les intérêts des 2 parties prenantes que sont ses actionnaires pour la profitabilité et ses clients pour le service, il ne faut pas sous-estimer pour autant  les gains indirects sociaux et environnementaux qu’elle peut générer, comme par exemple la pacification des relations entre les silos d’une même entreprise, avec ses fournisseurs et clients, ou  la chasse au gaspillage pour limiter les rebuts et les pertes matières, sans parler de l’optimisation des transports permettant de limiter les émissions à effet de serre.

Donc la Supply Chain, tout en étant focalisée sur l’enjeu économique, agira directement ou indirectement sur la plupart des axes de la RSE. 

Il est donc tout à fait logique aujourd’hui, de réfléchir à comment tirer parti de l’expérience du SCM pour faciliter l’intégration de la RSE dans les pratiques de l’entreprise ?

 

 

  • Point of view #3 - 26 juillet 2018 :
    Les origines de la responsabilité sociétale de l'entreprise

Problématique : RSE, de quoi parle-t-on vraiment et comment capitaliser sur les pratiques SCM pour engager sa démarche RSE ?

Cette question a motivé une série de Point of View, dont le premier est un retour aux sources du RSE.

Au 18ème siècle, les organisations étaient créées par le Roi via l’émission d’une charte donnant aux ayants droit le monopole sur une activité ou un territoire, avec une mission précise (construction d’un canal, commerce des épices) et dans l’intérêt de la monarchie. Les chartes étaient limitées dans le temps et le Roi détenait le pouvoir de révoquer la charte ou mettre en prison les ayants droit si l’organisation n’opérait pas conformément à la mission convenue et à l’ordre établi.

En cela, le Roi préfigurait un objectif de RSE avec la volonté de préserver les matières premières et l’équilibre social, la gestion des ressources et des considérations sociales étant centralisées. Mais l’opposition à cette autorité suprême a ensuite motivé les révolutions de la base constituée d’individus voulant exister en tant que tels.

La montée du libéralisme a tout d’abord eu un impact politique, en jouant son rôle dans les révolutions et l’établissement de Républiques à la fin du 18ème siècle avant de s’étendre à la sphère économique. Adam Smith affirme alors que l’intérêt général découle de la somme des intérêts individuels, évoquant ainsi la « main invisible » du libre marché.

1953, Bowen pose les prémices de la responsabilité sociale de l’homme d’affaires ….

 

  • Point of view #2 - 5 septembre 2016 :
    Gestion de projet : Origines et facteurs clefs

Problématique : Bien que la gestion de projet soit un modèle de gestion développé dans les années 50, les experts s’accordent à lui donner comme première apparition la construction de la coupole de la cathédrale de Florence par Filippo Brunelleschi en 1418. Il fut en effet l’un des premiers à séparer nettement la phase de conception (le « projet ») de la phase d’exécution (la « mise en œuvre »).  

La compétence de Gestion de Projet a longtemps été développée dans le cadre des grands projets informatiques par les intégrateurs, sans transfert de la compétence aux opérationnels. Cependant, les industries de petite série ont rapidement compris les enjeux à maîtriser la gestion de projet pour mettre sous contrôle les temps de réalisation tout en maîtrisant les coûts de projets complexes… d’où l’émergence rapide d’outils informatiques de Gestion de Projet de plus en plus sophistiqués. Et pourtant, beaucoup de projets dérapent faute d’une gestion de projet appropriée... Pourquoi ?

 Selon le moraliste Vauvenargues, « La science des projets consiste à prévenir les difficultés de l’exécution ». Ainsi, si le projet échoue, c’est que la Gestion de Projet a été inefficiente. 

 

  • Point of view #1 - 19 avril 2016 :
    La mise en oeuvre du VMI

Problématique : Dans un contexte de réduction du BFR, de plus en plus de donneurs d'ordre souhaitent mettre en oeuvre du VMI avec leurs Fournisseurs afin de réduire leurs propres stocks. 

Le VMI (Vendor Managed Inventory) est alors un "stock de consignation" ou "stock avancé" à la charge du Fournisseur, le Client imposant une fourchette de stock à garantir, mais ne payant qu'à la consommation.

Pour mette en oeuvre ce système, le Client doit transmettre non seulement ses prélèvements sur le stock au fil de l'eau pour déclencher la facturation, mais aussi des prévisions de consommations qui permettront au Fournisseur de planifier au mieux sa propre production ainsi que le réapprovisionnement du stock. 

 

Évident en théorie, difficile dans la pratique, car rares sont les donneurs d'ordre faisant appel au VMI qui maîtrisent leurs prévisions de besoin : il s'agit malheureusement souvent d'une "externalisation" du problème stock.  

 



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